l'abîme et la mise....
“ Il dit me voir dans une grande préoccupation du sexe. Mais d’un sexe tendu et soufflé comme un objet...” (Artaud)
Un objet en plastique, humide à trou, les fils s’entrecoupent et donnent vie. Une vie excitante, d’une vitesse refroidissante. L’électricité parcourt le sexe de l’homme sec pour retrouver la femelle, le trou, le néant ou elle peut s’infiltrer. Le gouffre d’une nouvelle vie approche. Une préoccupation qui résonne dont on ne peut plus s’en défaire,on y est accroché comme une humidité. Le sec et l’humide deviennent automate en totale contradiction personnelle.
L’homme a la préoccupation, s’infiltre dans la prise et la bas….Ailleurs il y a cette femme vue de dos qui représente assez bien la silhouette conventionnelle de la sorcière…il entrevoit l’addiction ?